Si vous n’avez pas envie d’apprendre, et donc de changer, merci d‘aller vers un autre site Internet au plus vite.
ATTENTION : le contenu ci-dessous pourrait gravement nuire à votre Ego et vous permettre d’évoluer spirituellement, pour devenir une meilleure version de vous-même, à condition d’accepter un peu de… mordant. Si vous optez pour le statut quo et toujours plus de la même chose, partez au plus vite ou des dégâts irréparables à votre sommeil profond pourraient être causés. Bon, apparemment vous êtes toujours là… Malgré tout ? Vous n’avez pas encore fui… parce que vous êtes curieux ? Vous êtes vraiment sûr ? Donc, maintenant, on peut dire que… vous l’aurez bien cherché. Et vous aller le trouver. Quoi donc ? Le début du chemin, car OUI, vous êtes… “spécial”, unique et remarquable, au début. Au tout tout tout début. Mais ça n’est vraiment que le début. 😉
“Je veux et j’exige d’exquises excuses” : telle est la phrase complète, utilisée pour améliorer la diction, à répéter le plus rapidement possible et en continu, sans que votre langue ne fourche (on parle de virelangue, dont vous trouverez quelques exemples en cliquant sur le lien) et dont les plus connus (et sans doute parmi les meilleurs) sont “un chasseur sachant chasser sans son chien fait sécher ses chaussettes sur une souche sèche” ou le classique, mais redoutable, “papier, panier, piano” ; allez, on s’exerce à le prononcer rapidement ne serait-ce que dix fois d’affilée et en articulant correctement ! Alors ? On zozote et on fait du fourchelangue ? VOUS qui exigiez justement d’exquises excuses… “Mais j’ai jamais rien exigé Moi, c’était juste pour améliorer ma diction, le comportement de ma langue” ! Oh, autrement dit, VOUS n’avez jamais rien exigé, explicitement ou implicitement ? Vous n’avez jamais accusé l’autre, explicitement ou implicitement, d’être responsable de votre malheur (momentané ou durable) ? Car, évidemment, VOUS n’avez jamais affiché avec tant de superbe votre Ego… Non, en réalité, vous savez bien que vous avez des droits et des prérogatives (que les autres n’ont pas), parce que vous êtes différent des autres (alors que les autres non, bien sûr), parce que c’est… VOUS ! Allez, on se détend, on dégonfle, et on ouvre un peu les yeux sur soi-même. Si, si, un peu de Lumière, ça permet au final d’y voir plus clair.
Le besoin égotique d’être spécial, extra-ordinaire, de sortir du lot au yeux de quelqu’un (de vous-mêmes et/ou des autres), n’est rien d’autre qu’une forme d’enfance spirituelle, un euphémisme pour évoquer le fait de se comporter comme un bébé… On aurait pu dire “Princesse”, mais ce fut trop flatteur (et donc pas particulièrement bon spirituellement) ; d’ailleurs, votre Ego aime tant que l’on vous compare à un bébé, n’est-ce pas ? Si vous avez eu une petite réaction intérieure en lisant ces dernières phrases, relisez également l’avertissement présenté dans les deux premiers paragraphes. Toutefois, si juste aujourd’hui, je fais un (petit) effort, cet article devrait vous intéresser. Si vous prenez les choses “à cœur”, de façon personnelle (ce qui est une preuve d’Ego), demandez-vous pourquoi vous VOUS voyez dedans, tel un miroir tendu, bien que le miroir soit impersonnel. Non, cet article n’a toujours pas été écrit pour VOUS, en particulier, pour aucun et aucune d’entre VOUS en particulier, mais oui il nous concerne… TOUS.
Non, JE ne suis plus un enfant, Moi !
L’enfance spirituelle se dépasse en changeant durablement de comportement, en devenant a minima adolescent et, si possible, adulte dans les faits, c’est-à-dire en ayant compris pourquoi l’enfance spirituelle est une étape à franchir (et non un âge d’or irresponsable dans lequel on peut stagner) et surtout en incarnant le fait que l’on ne fait plus les mêmes bêtises spirituelles infantiles (immaturité spirituelle) :
1) JE veux tout de suite : je n’ai ni patience, ni endurance réelle, ni respect sincère, parce que mes désirs passent avant tout et que j’ai le droit de faire des caprices, parce ce que c’est… MOI ! Donc, c’est normal.
2) JE me plains presque tout le temps : sans rien faire de réellement efficace pour changer durablement les choses, parce que sinon je n’ai plus de quoi me plaindre et que le temps que je passe à me plaindre ça n’est pas du temps que je passe à évoluer, car je préfère en réalité stagner. C’est d’ailleurs beaucoup moins fatiguant en réalité (la croissance, c’est crevant, ça pousse à changer de peau et se dépasser), donc c’est tout naturel.
3) JE critique régulièrement ce que je vois : je préfère surtout et d’abord voir la paille qui est dans l’œil du voisin, parce que cela me permet de nourrir mon esprit de critique et de me complaire dans le dénigrement, le commérage, voire les ragots, fûssent-ils parfois étayés par quelques faits… L’esprit critique, qui permet d’apprendre et d’évoluer en faisant preuve de discernement, est tellement moins… croustillant ! En vrai, c’est beaucoup plus facile de parler des autres, donc c’est mieux ainsi.
4) JE juge fréquemment tout ce qui m’entoure : rien ou pas grand chose n’est d’ailleurs suffisamment bien pour moi, ce qui me permet de me distinguer par le haut ; en réalité par le bas, par différence avec les autres, qui se retrouvent du coup en-dessous de moi, forcément. Parce que vous savez qui je suis ? Je ne suis pas n’importe qui !
5) JE condamne et accuse les autres : j’enfonce le clou et j’acte officiellement le fait que je me sens à bon compte supérieur, puisque je viens de rabaisser les autres définitivement, faisant ainsi de moi définitivement leur supérieur. Vous le savez bien, moi je suis un être supérieur, quand même.
6) JE fais semblant : je dis, mais je ne fais pas ; je fais un peu, mais pas vraiment ou superficiellement, parce que “je n’ai pas envie” ou encore je fais plutôt autre chose, parce que “ça me plaît mieux comme ça”, c’est plus “à mon goût” ; je pose une question, mais je n’aime pas la réponse, qui ne me convient pas. Pourquoi ? Parce que c’est comme ça ! Il n’y aucune raison que je fournisse ces efforts stupides que les autres fournissent, parce que ça m’est dû, c’est évident. Et si je ne veux pas entendre, j’ai le droit, na !
7) Bref, JE n’ai pas envie d’évoluer réellement, parce que cela demande des efforts qui me coûtent réellement (ça n’est pas gratuit et je trouve que c’est vraiment trop cher… nan, mais faudrait vraiment que ça soit gratuit en fait) et que je ne veux pas vraiment faire ces efforts spirituels (à la limite des efforts physiques ou discursifs) ayant pour but de me transformer, “c’est trop pour moi, je suis (très) bien comme je suis“. On préserve ainsi le statut quo qui me permettra de dormir profondément sur mes deux oreilles : circulez, il n’y a rien à voir ; je n’ai rien à apprendre, enfin surtout pas là-dessus, parce qu’en réalité, je n’en veux pas. Donc, c’est simple !
L’Ego nous fait avoir la grosse tête et l’arrogance qui va avec… pour le plus grand mal de tout le monde, à commencer par nous-même ! Notons d’ailleurs que lorsque l’on parle d’immaturité spirituelle, le fait de se comporter spirituellement comme un enfant ou une petite princesse, ça n’est pas un jugement de valeur, c’est-à-dire quelque chose de subjectif et d’arbitraire : c’est un jugement de fait ! Ce que vous faîtes vraiment parle pour vous, en bien ou en mal, mais rester dans cette dualité n’a pas de sens, c’est à nous de grandir et “quand on se plante, ça pousse !“. Dire qu’une plante n’a pas encore poussé, qu’elle est immature ou que c’est un bébé plante (si ce n’est même encore qu’une graine), n’est pas une condamnation ou le signe que quelqu’un vous en veut (ni le Ciel, ni les Autres) ; c’est simplement un constat : aujourd’hui, vous en êtes là et peu importe là où c’est, car l’important c’est de cheminer pour avancer et donc grandir spirituellement. Et si là où vous en êtes ne vous convient pas, faîtes les efforts nécessaires pour réellement et durablement changer cet état de fait. Si vous ne les faîtes pas, c’est que vous avez, en réalité, choisi de stagner, de vous comporter comme un touriste ou un vacancier. Les choses sont alors claires : si vous êtes en vacances (plus ou moins perpétuelles), c’est que vous n’êtes pas là, que vous n’êtes pas Présent, pas disposé à évoluer spirituellement. C’est un simple constat, vrai, que cela vous plaise ou non. De toute façon, c’est votre vie et vous en subirez donc les conséquences, souvent à la Caliméro : “c’est vraiment trop injuste !“. Vraiment ? C’est cela qui amène à exiger d’exquises excuses, sans jamais songer soi-même à en produire… Pourtant, on a vraiment tous matière, car aucune et aucun d’entre nous n’est parfait. On aurait TOUS pu mieux faire. Mais on ne l’a pas fait…
…Bref, j’ai appris à saboter !
Faire des efforts ? Vous voulez dire que JE ne vais pas juste avoir à attendre que le temps passe pour que ça se fasse tout seul ? Que la plante doit faire des efforts pour pousser et continuer à pousser et que ça coûte du temps, de l’énergie et tout et tout et tout ? Oh non, ça ne me va pas du tout, et je ne compte pas faire vraiment tous ces efforts et ces petits sacrifices qui coûtent à mon Ego. Pire, j’utilise de travers (par paresse spirituelle) les outils de Transformation et d’Évolution que j’ai pu recevoir : ils auraient pu être positifs pour mon évolution (à la base ils avaient été faits et transmis pour ça), mais j’ai modifié et fait à ma sauce (parce que ma sauce actuelle, à laquelle je suis bien habitué, est meilleure que la nouvelle sauce que l’on voulait me faire goûter, ça va sans dire, et donc j’en rajoute partout sans jamais “vider ma tasse”), j’ai enlevé les trucs qui ne me plaisaient pas trop ou que je trouvais trop difficiles, pour me concentrer sur ce que j’aime bien et que je fais déjà depuis longtemps (parce que c’est plus facile et que c’est une manière de faire semblant de faire des efforts, pour surtout ne pas vraiment changer, en faisant du “toujours plus de la même chose“, un autre nom de la névrose), bref j’ai appris à saboter ma progression spirituelle en vidant mes pratiques de ce qui aurait pu les rendre efficace. “Néo, tu n’es pas l’élu“, c’était tout ce qu’il avait besoin d’entendre pour lâcher prise… et du coup pouvoir réellement devenir l’élu, pour pouvoir réellement incarner ce rôle, comme chacun d’entre nous peut le devenir s’il consent au sacrifice de son Ego, de ses attachements, de son confort, de son temps, en se mettant au service des autres et du bien de tous, plutôt que de sa petite personne ou communauté. Pas facile de devenir réellement l’un des plus beaux fruits…
À simplement lire ou entendre cela, notre Ego se crispe : tout renoncement à ses petites habitudes égoïstes et arrogantes sonne comme un crime de lèse-majesté. Au-delà du titre auquel il estime avoir droit pour l’éternité, notons que derrière le mot “majesté”, on retrouve la racine magnus, qui signifie “grand”, ici une grandeur que l’on s’auto-attribue avec des airs supérieurs et en exigeant un respect… que l’on ne mérite pas vraiment, en affichant une telle attitude. L’amour propre, égoïste, est plus que conditionné à ma petite personne, là où le respect (qui signifie étymologiquement “regarder en arrière, derrière soi“) implique une attitude réflexive et distanciée, nous permettant d’évaluer la situation de l’autre et lui témoigner notre considération, notre estime, liée à un certain mérite. Quel est réellement votre propre mérite ? Votre réponse a-t-elle été sociale (avec les critères de légitimité liée à votre culture ici et maintenant, et qui varierons avec le temps et l’espace, quand la culture change) ou spirituelle (avec les critères de l’Amour Inconditionnel, qui ne change jamais quel que soient l’espace ou le temps) ? Cette question du mérite réel est tout simplement entre vous et le Ciel : vous savez qu’il sait… tout. Même ce que vous aimeriez bien que personne d’autre ne sache. Même ce que vous refusez d’admettre, qui plus est publiquement. Ce mécanisme égotique donne ainsi lieu à de grandes façons de saboter sa croissance spirituelle (voir ci-dessous, liste non exhaustive) : le mécanisme passe essentiellement par le déni, pour ne surtout pas apprendre de ce qui a foiré et ne va pas… sinon je risquerais de pouvoir changer en mieux :
1) “C’est pas vrai !” (et je ne t’écoute plus, lalalala) : toute vérité n’est pas bonne à dire à l’Ego, qui va faire la sourde oreille pour ne pas entendre, sinon il devrait logiquement se remettre en cause, mais il ne veut pas, donc il va tout bonnement rendre le message inoffensif pour lui : en “oubliant” le message (tombé aux oubliettes, généralement pour la x-ième fois), en le “comprenant de travers” (mais en prétextant que c’était “logique” de l’interpréter comme cela, sans bien sûr se demander si le point de vue qu’il a adopté n’était pas en réalité très spécifique et singulier, pour ne pas dire étroit, et, surtout, sans procéder à une réelle analyse logique), en “interprétant le message à sa sauce” (l’Ego commence à trafiquer le message pour pouvoir le détourner et le récupérer à son profit ; ex. : une absence de rejet, c’est forcément une validation totale de ce que je fais, pas une forme de bienveillance non violente), voire en le modifiant franchement, si ce n’est en le supprimant (“c’est des conneries tout ça, je ne vais pas m’embarrasser avec ce truc“). Et tout un chacun a la liberté de faire un tel choix (trop attaché à telle ou telle charge émotionnelle à laquelle l’Ego s’identifie), mais du coup aussi la Responsabilité d’en assumer les conséquences. Et là, en général, on aime moins…
2) “C’est pas moi !” : et “si ce n’est toi, c’est donc ton frère“, dit le loup à l’agneau… pour trouver une justification pseudo-vraisemblable lui permettant de le croquer, d’une façon très passive-aggressive, dans un premier temps (l’aggression active, c’est juste le temps d’après, c’est bien comme ça qu’on prétend justifier un comportement prédateur, non ?). Le déni de Responsabilité conduit au pire (on a le droit d’agir au détriment complet et total des autres), mais aussi aux attitudes infantiles et immatures spirituellement à la Caliméro (“c’est vraiment trop injuste !“). De quelle injustice parle-t-on ? Vis-à-vis de qui et quoi ? Comme cela dépasse en réalité grandement votre petite personne, si l’on décidait de prendre du recul, on pourrait voir que l’on a même toujours une part de responsabilité dans ce qui nous arrive… Bien sûr, vous pouvez rester dans votre coquille égotique de négation totale, mais vous pouvez aussi bien décider d’éclore après le solstice d’hiver, à partir de Noël, en faisant naître votre Divin Enfant et en vous tournant activement vers la Lumière : c’est la fin de l’enfance spirituelle et le début de la croissance. Ainsi, plutôt que de chercher des coupables à l’extérieur de vous, pour mieux vous disculper et préserver ainsi le statut quo de l’Ego, vous pourriez vous demander en quoi vous avez contribué à créer la situation dans laquelle vous vous sentez victime d’injustice, et qui n’a rien, rien de rien, à voir avec VOUS. Jamais. Non, mais !
3) “C’est pas ma faute !” : il s’agit ici d’une variante du déni précédent liée à la culpabilité (que l’on ne veut pas ressentir pour ne pas devoir agir). Spirituellement d’ailleurs, la culpabilité n’est pas particulièrement bonne en soi, parce que c’est un superbe outil de contrôle social, bien horizontal et terrestre, là où l’on devrait au contraire produire un résultat vertical et céleste d’élévation. À ce moment-là, la faute se transforme en “karma“, qui n’est pas ce que les gens croient le plus souvent : quelque chose contre lequel vous ne pouviez rien faire et qui vous serait tombé dessus comme une fatalité. En effet, la régulation des choses du point de vue spirituel se fait naturellement par tout ce qui vous arrive, comme autant d’expériences à vivre qui vous sont proposées : faire face à ses propres responsabilités, c’est-à-dire faire face à ce que que l’on a causé ou provoqué, pas simplement pour nous-même, mais aussi autour de nous, avec tous les effets de vagues et les réactions en chaîne (dans le temps et dans l’espace), autrement dit l’enchaînement des causes et des effets, ce qu’est réellement le karma, un concept très répandu spirituellement, sous une forme ou sous une autre (par exemple, dans la parabole du semeur chez les chrétiens). Et vous serez effectivement “punis” (condamné à apprendre), à cause de vos “péchés” (vous n’avez pas fait ce que vous auriez dû), mais pas puni pour vos péchés (parce que vous auriez été “jugés”), mais par vos péchés (par ce que vous avez vous-même causé) : par l’effet boomerang, vous récoltez ce que vous avez semé, avec les éventuels “intérêts” liés au fait, par exemple, d’avoir dérouté négativement des personnes (“mais non, ça n’est pas de ma faute !!!“, vraiment ?) ou de leur avoir singulièrement compliqué la tâche (si vous ne l’avez pas rendue impossible) ; si vous empêchez les autres de croître spirituellement, vous engagez du même coup votre responsabilité et le karma qui va avec. Bien sûr, quand on est le centre du monde, on ne pense pas au reste du monde (qui pourtant est bien plus en pourcentage du monde que notre petit Ego, mais la grenouille veut se gonfler pour être plus grosse que le bœuf). Prendre ses responsabilités, pour ce que l’on a fait (y compris et surtout quand on n’a pas bien fait, afin de pouvoir, et surtout de faire, vraiment mieux la prochaine fois) et pour ce que l’on n’a pas fait (afin de débusquer les germes terrestres et émotionnels de notre inaction spirituelle, usuellement par immaturité spirituelle, qui conduit à la paresse et à “ne pas être capable de lever le petit doigt“… ou n’importe quel autre doigt ; ou encore par peur et autres émotions que l’on ne veut pas affronter).
Conclusion : “Ça ne me plaît pas !“
Parce que je suis dans une attitude intentionnelle égotique (“JE veux et J’exige“), que les résultats que je voudrais ne sont pas au rendez-vous et que j’en suis frustré, j’ai appris à me saboter moi-même et, quitte à m’enfoncer encore plus, à saboter les autres. La Responsabilité individuelle est alors d’autant plus grande et le prix (ou la facture spirituelle, comme vous voulez) sera d’autant plus grand (en plus de faire ce qu’il faut, il faudra défaire ce qu’il ne fallait pas faire mais l’a été). Si vous avez refusé d’apprendre certaines leçons, que vous avez fait la sourde oreille, que vous avez été volontairement négligent, le Ciel dans son Amour infini se mettra à votre portée… en appuyant plus fort, en parlant plus fort, en pressant plus fort. Personne ne s’imagine que ces nouvelles situations seront plus confortables que les précédentes, mais le potentiomètre aura augmenté à proportion de votre déni, pour vous donner une nouvelle chance… de faire (enfin) ce qu’il faut et de grandir spirituellement. Enfin, si vous acceptez cette fois de comprendre et d’apprendre les leçons spirituelles qui vont avec, celles qui justement vous transforment pour lâcher plus de ténèbres et intégrer plus de Lumière.
Si la situation dans laquelle vous vous trouvez ne vous plaît pas, comment faire preuve de plus de maturité spirituelle ? Et si vous arrêtiez de produire des émotions négatives ou en réduisiez significativement la production, ne serait-ce que parce que ces semences négatives vont inéluctablement vous apporter des récoltes plombantes, que vous ne voudrez pas assumer et dont vous allez (encore) vous plaindre, créant ainsi un cercle vicieux involutif ? Et si vous commenciez à produire de plus en plus d’émotions positives comme de la joie, de la gratitude, voire de l’Amour, permettant de dissoudre la haine et de vous faire du bien à vous, mais aussi à tous les autres, créant ainsi un cercle vertueux évolutif ? Spirituellement, ce choix VOUS appartient… car c’est à vous de faire les vrais efforts (pas les semblants ou faux-semblants) qui vont avec. Alors pourquoi ne pas arrêter de saboter et ne pas plutôt vous faire de bons sabots pour cheminer ? Vous êtes prêts pour une petite marche de mille lieues ?